Le Journal d'Audrey Hepburn

Pièce de Théâtre Musical

«Un spectacle intense et précieux, émouvant et juste, qui constitue un très bel hommage à cette actrice modèle» Hélène Kuttner journaliste culture et théâtre

Le ballet étant son choix de vie et son échec, Audrey Hepburn se tourne vers le cinéma où son charme presque magique laisse une trace inoubliable, mais c'est son nouveau choix de vie - devenir la voix des enfants, qui se transforme en sa réussite personnelle.

La pièce couvre 50 ans de la vie de l’icône du cinéma, de l’enfant abandonnée à la star hollywoodienne puis à la femme porte-parole des enfants du tiers monde. Ses facettes les plus étonnantes sont mises en lumière : d'une part ses souffrances causées par l’absence d'un père et par la froideur d'une mère, et d'autre part sa fascination pour l’œuvre de sa jeune compatriote, Anne Frank. Toutes les deux réfugiées en Hollande, le journal intime d’Anne aurait pu être celui d’Audrey, mais un détail les séparait infiniment. Anne avait son père à ses côtés, tandis qu'Audrey non ; son père l'ayant abandonnée pour se consacrer aux
activités du fascisme anglais. Cet amalgame complexe façonnera le talent unique d'Audrey Hepburn, son immense succès au cinéma, puis sont choix de se consacrer entièrement aux enfants.
 

MOT DE GALA VINOGRADOVA SASSOON, L'AUTEUR

Je veux faire découvrir la personnalité courageuse d'Audrey Hepburn, au-delà de son image futile... La guerre rend l’avenir impensable, pour autant, Audrey adolescente ne lâche pas l’avenir qu’elle désire, ni la confiance dans le bien qu’elle pourrait apporter. Audrey adulte, déjà star, ne lâche pas un seul instant la volonté d’être présente dans son temps et la conscience de la responsabilité. Michel Simon a dit: «Le progrès de la science chimique qui assassine la Terre, tue toute vie, assassine l’homme! La femme pourrait sauver l’humanité parce qu’elle est encore en contact avec la nature. Elle échappe aux lois, aux imbécilités émises par les anormaux. Elle est encore en contact avec la nature mais elle n’a pas voix au chapitre.» C'est cette femme protectrice qui nous garde éveillés contre la folie, que je désire dessiner. Dans ce spectacle, j'aspire à recréer l’Audrey Hepburn de chair et d’âme. Non pas l'icône, mais celle qui était dans la peau d'Anne Frank, qui se battait pour offrir sa voix aux enfants les plus démunis dans le monde. Ce spectacle est pensé pour communiquer le sentiment de simplicité tendre et harmonieuse qu'Audrey Hepburn inspire, et faire redécouvrir son talent et son humanité dans sa séduisante joie de vivre. 

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